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 I'm the drug you can't deny | Phoenix Elle Van Sträff | U.C

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AuteurMessage
Phoenix E. Van Sträff

Phoenix E. Van Sträff


Messages : 6
Date d'inscription : 28/03/2010

Boule de Cristal
Camp : Mangemorts
Relations:
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MessageSujet: I'm the drug you can't deny | Phoenix Elle Van Sträff | U.C   I'm the drug you can't deny | Phoenix Elle Van Sträff | U.C EmptyDim 28 Mar - 18:13

« JE SUIS...»



    I'm the drug you can't deny | Phoenix Elle Van Sträff | U.C Diapo72aca3fa85b39afdb6e86dc4006e3e8fVan Sträff ; Phoenix Elle
    17 ans
    15 avril à Edinburgh, en Ecosse
    Bi à tendance hétéro officiellement célibataire, officieusement en couple
    Sang pure présumée
    Ecossaise et Norvégienne
    Septième année
    Phoenix est au plus offrant. Pour l’instant, c’est Voldemort






«... UNE PERSONNE...»



Caractère :
_ Il est consolant de penser que si la folie ne gagne rien au contact de la raison, en revanche, la raison s'altère au contact de la folie. { Georges Courteline }
« Bonjours. Je me présente, je suis Phoenix Elle Van Sträff, mais ça, vous le savez déjà. Vous le savez parfaitement car j’ai disparu de Poudlard lors de ma troisième année, pour ne réapparaitre qu’en cinquième année. Vous le savez tout simplement car vous ne pouvez vous empêcher de vous retourner sur mon passage, murmurant ‘c’est elle ?’ à vos amis. Oui, c’est bien moi. Du moins, je le crois. Si j’étais quelqu’un d’autre, je pense que je serais au courant, vous ne croyez pas ? Alors, avant toute chose, bonjours, je ne suis pas enchantée de vous rencontrer. Remarque, cela risque de vous faire plus de mal à vous qu’à moi, donc si vous souhaitez vraiment me connaitre, libre à vous. Maintenant que les présentations sont faites, sachez que je ne suis pas quelqu’un de facile à comprendre, pour plusieurs raisons, la principale étant un état de santé mentale. Ils disent que je suis folle, une psychopathe, mais personnellement, je me sens parfaitement bien. Après tout, je le saurais, si j’étais une dangereuse psychopathe, vous ne croyez pas ?
Généralement, c’est là que les gens commencent à flipper et à tourné les talons. Je ne suis pas quelqu’un de sociable à proprement parler : Je ne vous approche pas, me tenant à l’écart de votre normalité asphyxiante et pitoyable. Le monde réel me tue, mon cher, je n’y peux rien. Ainsi, je suis en apparence froide, hautaine, garce et hypocrite. En bref, une fille qui se croit mieux que tout le monde et le revendique pleinement. C’est ma manière à moi de tenir les gens à l’écart, même si certains fous, idiots, désespérés, spéciaux ou tout simplement curieux m’abordent tout de même. Les curieux ne font pas long feu à mes côté, pas plus que les idiots, mais je dois avouer avoir une énorme préférence pour les désespérés, que je me plais à torturer psychologiquement. Les fous et les spéciaux sont un peu mieux lotis. Dès que vous m’abordez, je perds mon épaisse couche de glace, comme frappée par le soleil, et devient quelqu’un de sociable, relativement bavard, mais surtout bizarre, flippant, mystérieux. J’adore faire peur aux gens lors de la première rencontre, laisser des indices sur mon état de santé mentale, rire de leurs défauts sous leur nez, me conduire impunément et sans retenue, leur tirant la langue. J’aime bien faire peur, montrer mes crocs comme un loup. C’est là que les curieux lâchent prise. Certains, toute fois, continuent à s’accrocher et a essayé de me connaitre. Je juge les gens à notre première rencontre et les classes dans quatre catégories : Amis potentiel, ennemis potentiels, idiots imbuvables à éviter et victimes. Seul les membres de la première catégorie ont la chance de m’intriguer et me plaire, ce sont aussi les seuls pouvant changer de catégorie selon mon bon vouloir. J’aime jouer, surtout poser des questions, cela me permet d’avoir un certain contrôle sur la situation, et j’adore donner des réponses ironiques et cyniques à ceux assez fous pour me questionner. Je ne m’entends bien avec les gens que lorsque je le veux bien, et j’adore contredire. Pourtant, je suis aussi psychotique, un peu comme ces psychopathes de légendes dont on murmure le mot avec stupeur et tremblement. Oui, je suis folle. Je souffre de dépression délirante aïgue : J’entends des voix, je vis dans mon monde, et parfois d’hallucination, lorsque j’oublie de me nourrir pendant trop longtemps. Oui, car je suis aussi supposée ‘anorexique’, ce qui m’amuse. Non, je ne mange pas pour masquer un quelconque mal-être. Je ne mange pas parce que j’ai du mal à ressentir la faim, ou même la soif, alors j’oublie de me nourrir. Je n’y peux rien, après tout. Je peux paraitre enfantine et enjouée, mais je suis avant toute chose très dangereuse, des idées peu appréciables passant à travers mon esprit désaxé. Quelque fois, je passe à l’œuvre. D’autres, je ne me contrôle pas, je pique une crise d’hystérie, de paranoia, j’ai l’impression de tomber dans un gouffre alors que je suis debout. Une fois, j’ai faillit me jeter par-dessus la rambarde de l’escalier de Poudlard, juste pour voir si c’était drôle. Cela aurait pût être une expérience grisante si Mac Gonagal n’était pas passé par là au mauvais moment. J’ai aussi plusieurs fois essayé de me noyer, mais j’ai arrêté. Après multiples essais, j’ai compris que cela n’avait rien de marrant… J’aimerais aussi bien essayé la défenestration, mais on ne me laisse pas faire. Je suis enfermée dans ma tour, et ce n’est pas marrant. Ils disaient que c’était pour mon bien, que si j’étais une gentille fille, je sortirais, ils avaient raison, même si être une gentille fille, ce n’est pas marrant. Bref, vous l’aurez compris, je ne suis pas gentille. La gentillesse n’a rien à voir avec moi. Je peux être affable, agréable, aimable, et nous n’en sommes qu’aux A, mais ne me demandez pas d’être gentille : J’ignore comment on fait. Bien sûr, je sais stimuler la gentillesse, comme on stimule un orgasme, mais cela ne rime à rien, puisque ça ne veut rien dire. Bref, je suis donc manipulatrice, je l’admets, je suis aussi garce, parce que cela m’amuse, et enjouée. Et puis, je suis très magnétique, charismatique et mystérieuse : J’attire les regards, les rumeurs, et cela me plait, bien que je ne cherche pas à être populaire, cela me donne une forme de pouvoir sur les gens. Je suis ce que je suis, après tout (et avant tout aussi, d’ailleurs). Après, c’est à vous de me découvrir.»



Physique :
_ Le problème avec la folie des grandeurs, c'est qu'on ne sait pas où finit la grandeur et où commence la folie. { Quino }
«Quoi ? A présent, il me faut me décrire physiquement? Êtes-vous aveugles? Bon, puisque je n’ai pas le choix, autant me décrire… D’abord, je suis grande, à tel point que mes jambes paraissent interminables, et je ne suis pas dépourvue de courbes féminines : j’ai ce qu’il faut là ou il faut, et je suis mince, de quoi attiré les regards sans être une bimbo. Oui, car je n’ai rien d’une bimbo blonde décolorée, et heureusement pour moi. Ce genre de fille est coincé, c’est d’un ennui! Bref, j’ai une démarche élastique, silencieuse, magnétique et souple, comme celle des grands prédateurs. D’ailleurs, je me plais à me comparé à un lion, dont j’ai la crinière. En effet, j’ai de longs cheveux roux très ondulés, que j’aime laisser voler au vent : Cela me donne un air sauvage, indomptable, inaccessible. J’ai aussi des yeux bleus, très bleu, qui vous transpercent dès qu’ils se posent sur vous, et vous donne l’impression d’être un attardé mental, ce qui m’amuse énormément. Je suis l’opposée de ma petite sœur, ou de la fille de la future femme de mon père : Ma beauté est sauvage, inaccessible, magnétique et irrésistiblement mystérieuse et attirante. Tout, dans mon apparence, vous donne l’impression d’être en face d’un grand félin prédateur. Mon visage est ovale, et mon nez fin, parsemé de minuscules tâches de rousseur. Ma peau est laiteuse, pâle et douce, mais j’aime cela : elle contraste avec le bleu profond de mes yeux et la rousseur de mes cheveux. Mes lèvres sont pulpeuses, mes jambes sont interminables, et j’ai de petits pieds supposés fins et délicats. Je suis un animal. »


Style Vestimentaire :
_ Ne pouvant se corriger de sa folie, il tentait de lui donner l'apparence de la raison. { Alfred de Musset }
« Je suis une femme mi-lune mi-homme, Une anagramme, un erratum. On me dessine on me façonne. Je vous fascine, ça vous étonne? Je suis un songe, un ectoplasme, juste un mensonge, un pléonasme. Je reste de glace face à vos spasmes . Je ne trouve pas ma place dans vos fantasmes.
Très beau, n’est-ce pas ? Malheureusement, si cela me définit, ce n’est pas de moi. Les moldus ont parfois des phrases si douces. Oui, je ne les déteste pas. Le goût de leur sang est le même que le sang de sorcier, tous sont égo devant la mort. Enfin, il n’est pas question de cela, mais de mon style vestimentaire. Comme vous ne l’avez pas compris grâce à ma magnifique citation si bien placée, j’ai mon propre style vestimentaire. Je peux très bien porter des vêtements coincés ou délurés, ressemblé à ses filles qui semblent faire le trottoir, perchées sur leurs talons aiguilles. Ce n’est pas mon style. Je suis beaucoup plus… animale. Sexy, charismatique, magnétique, attirante, mais animale, c’est d’ailleurs ce qui fait ma force, et me rend belle dans n’importe quel vêtement. Cela dit, je ne porte pas n’importe quoi… Enfin, si, plutôt, c’est ce que je fais. Je peux me balader en T-shirt jaune fluo et pantalon bordeaux, sans plus me poser de question. J’aime beaucoup m’amuser avec mes vêtements, et je sais m’habiller en soirée, mais normalement, je fais plus dans l’utile que dans le gala. A quoi cela me servirait-il, de déambulé dans Poudlard maquillée comme une voiture volée ? On me remarque déjà bien assez comme cela. J’aime qu’on me remarque, mais je n’aimerais pas être vue ainsi. Je ne suis pas une fille facile, sauf si vous vous êtes blessé. Ainsi, j’ai un style bien à moi, bien que j’avoue adorer le cuir. Quand à mon maquillage, il reste lui aussi très simple sauf lors de rares occasions. Mes lèvres sont généralement justes rehaussées d’un gloss transparent ou légèrement bordeaux, et je ne souligne mes yeux que pas deux traits de crayons noir, voir un peu de poudre. Je ne porte pas de fond de teint, puisque je n’en ai pas besoin, et laisse mes cheveux principalement détachés. »


«... SORCIERE PAR DESSUS LE MARCHE...»



De la naissance au moment fatidique :
_Un sage a dit un jour que tout les gens bien étaient remplis de folie…

    « Félicitation, c’est une petite fille ! »


Cette voix, la première que Phoenix eut la chance d’entendre, celle du médicomage, la tendant fermement à une femme qu’elle identifia comme sa mère. Cette voix, le bébé ne la comprenait pas, ne pouvait la comprendre, et se contentait de pleuré. A cette époque, elle ne savait même pas ce qu’était une fille, et pourquoi on félicitait ces parents. Ce jour, ce jour soi-disant si heureux, marqua le commencement de la fin de tout ce que la famille Van Sträff aurait pût être. Après tout, les Van Sträff n’étaient pas pire que les autres : un homme, une femme, mariés par intérêts comme on en voyait beaucoup à l’époque, sang-pur, tout les deux indéniablement beaux, avec une gamine braillard qui aurait dût leur apporté beaucoup de bonheur et de guirlandes en papier toilette pour décorer l’arbre de noël. En soit, une famille ordinaire, pas de quoi pleurer, pas de quoi rire. Pourtant, cette naissance, horrible évènement, funeste destinée, les fit basculés dans la déchéance, la dépravation les guettant à chaque tournant. Ils ne s’aimaient pas, ne s’aimeraient jamais. Le bébé sentait le regard froid de celui qu’elle appellerait plus tard « père » lui transpercer le dos, avec des yeux remplis de fierté, de dédain et de déception : Il aurait voulu un héritier mâle. Sa mère ne le savait pas, mais c’était pour cela que Phoenix braillait, parce que le regard dur et orgueilleux de l’homme lui brûlait la peau, et qu’elle n’avait qu’une envie : Pouvoir s’exprimer avec des mots, des phrases, lui dire dans sa langue de barbare d’aller se faire voir, d’arrêter de la regarder car ses regards étaient pires que les coups de poignards qu’elle aurait à endurer. Gillian, sa mère, ne se rendait compte de rien et souriait à sa rousse de fille tendrement, bien que ses mains blanches et diaphanes tremblent, serrant le nourrisson avec stupeur, effroi et terreur. Le bébé était roux. Il était donc de son amant, dont elle ne taira à tout jamais le nom. William ne le saurait jamais. Gillian emporterait ce macabre secret dans sa tombe, elle s’en fit le serment. L’homme semblait mettre la nervosité de sa femme sous le compte de l’accouchement, et ils rentrèrent tout les trois dans le manoir. C’était un manoir froid, sans vie. Seule sa mère semblait existée, chantant des chansons à la gamine qui faisait des bulles, pour montrer qu’elle était heureuse. Unique moment de bonheur dans une immensité de tragédie. Elle ressemblait malheureusement à son père, et avait la même santé fragile que lui. Petite, Phoenix tombait souvent malade, était très pâle, n’arrêtait pas de faire des cauchemars de plus en plus affreux, chaque soirs. Ils revenaient, comme un rituel, tous différents mais tous semblables, dans le fond. La petite semblait manquer de quelque chose. Même la naissance de sa sœur n’y fit rien. Phoenix piqua une crise de jalousie, et devînt de plus en plus étrange, mais sa mère la laissait faire, lui apportant chaque jours les repas dont elle avait besoin, l’emmenant se promener, l’écoutant parler innocemment de ces amis imaginaires, croyant qu’ils passeraient avec le temps. Perséphone et Phoenix étaient très différentes. Alors que la plus jeune était effacée, timide, l’autre avait un besoin excessif d’attention, d’être celle sur qui tous les regards se posaient. Dans le fond, elles étaient faites pour grandir ensembles, dans le luxe des Van Sträff, ayant tout ce qu’elles désiraient... Mais la vie n’est jamais un compte de fée, et derrière le Pays des Merveilles dans lequel la rousse semble vivre, se cache de lourds secrets.


Le Moment Fatidique :
_ Il n'existe que deux espèces de folies contre lesquelles on doit se protéger. L'une est la croyance selon laquelle nous pouvons tout faire. L'autre est celle selon laquelle nous ne pouvons rien faire. { André Brink ]

    « Maman ! Maman! Regarde! Regarde ce que je sais faire !


Pas de réponse. Résignée, la gamine de trois ans sauta de sa chaise, dans la bibliothèque du manoir des Van Sträff, et couru jusqu’à la chambre de sa mère. Ce n’était pas rien, tout de même, elle venait de faire tomber un livre… et elle ne l’avait même pas toucher. Ce n’était pas de sa faute, l’elfe de maison avait posé son livre de contes préférés sur la plus haute étagère de la bibliothèque, et la petite Phoenix avait eut tellement envie de l’apporter à sa mère pour qu’elle le lise, qu’elle avait souhaité voir ce livre venir à elle. Oui, Phoenix voulait encore une fois écouter l’histoire d’Alice. Alors, comme par magie, le livre était tombé jusqu’à elle. Elle n’y avait d’abord pas cru, puis c’était rendue à l’évidence, c’était de la magie. Sa mère lui en avait souvent parler, lorsqu’elle était plus jeune, enfin, lorsqu’elle avait trois ans, elle était spéciale, comme Alice, à qui sa mère la comparait souvent. Elle était magique. La petite fille oublia donc son livre là, filant à la chambre de sa mère, qui ne répondait pas, et attrapant au passage Perséphone, qui pleurait. Ce qu’elle vit ce jour là changea la vie de la rousse, comme de sa brune de sœur.
Des marques de coups, des hématomes couvraient le corps de sa mère, en pleure, ne remarquant pas ses deux gamines, qui se tenaient toutes deux dans l’entrebâillement de la porte. Phoenix regardait avec des yeux ronds, ne comprenant pas. Elle devait rêver. La vie n’était pas comme cela, parce qu’il devait toujours y avoir un Pays des Merveilles ou tout le monde vivait heureux. De toute évidence, ce n’était pas le cas. On lui avait menti, Alice lui avait menti. A présent, sa mère saignait, rependant ce liquide chaud et rouge sur les draps du lit conjugal, se laissant glisser par terre, sur le sol froid, comme une loque, une épave. L’odeur du sang faisait tourner la tête de la gamine, son cerveau était en ébullition, ses muscles tendus, répondant à l’appel sourd de cette scène morbide. Son être tout entier lui criait de rester, d’admirer le spectacle, que c’était la seule chose à laquelle elle avait droit, la seule chose qu’elle mérite. L’appel était de plus en plus fort, de plus en plus pressant, ses narines frémissantes face au liquide rougeoyant. Et puis, la sentant tomba, sa mère leva sa baguette, murmurant dans un dernier souffle un sort, un sort interdit qui restait à jamais gravé dans la mémoire de la rousse, le premier qu’elle eut jamais appris…

    « Avada Kedavra ! »


Perséphone commença à brailler, sa mère lâcha son dernier souffle, la tête de Phoenix lui tournait, elle avait fin, elle avait soif. C’était étrange d’ailleurs, c’était le première fois qu’elle ressentait ces sensations. Elle déposa alors Perséphone sur le pas de la porte, et goûta pour la première fois aux délices du sang humain, celui de sa propre mère. Honteuse, souillée après ce repas, elle s’enfuit jusqu’à sa chambre, courant laver ces mains de ce sang trop rouge, trop attirant, pleurant toutes les larmes de son corps. Ce jour là, elle comprit. Ne lui demander pas pourquoi, mais elle comprit. Elle comprit que William n’était pas son père biologique, qu’elle était un monstre, qu’elle était folle, qu’elle aimait cela, et qu’il n’existait pas de Pays des Merveilles, à moins que celui-ci soit cannibale.


Puis les années passent :
_D'âge en âge on ne fait que changer de folie. { Pierre Claude Nivelle de La Chaussée }


Et elle arrive :
_ L'espérance est la plus grande de nos folies. { Alfred de Vigny }


Pour que je parte à Poudlard :
_ Les hommes sont si nécessairement fous, que ce serait être fou, par un autre tour de folie, de n'être pas fou. { Blaise Pascal }


Mes années à Poudlard :
_ Et c'est une folie à nulle autre seconde Que vouloir se mêler de corriger le monde. { Molière }


Et ce que je suis aujourd'hui : 3 lignes minimum

«... QUI AGI COMME CELA...»



Relations Amicales : 4 lignes minimum


Relations Amoureuses : 4 lignes minimum

«... ET QUI AIME...»



Ce que j'aime : 5 lignes minimum


Ce que je déteste : 5 lignes mnimum


Cours préféré :Divination : La prof est tellement jetée que s’en ait hilarant ; Défense contre les forces du mal : Hilarant aussi. Comme si on pouvait se défendre contre les forces du mal. Et puis, Phoenix adore contredire le nouveau prof.


Patronus : Un basilic


Epouvantard : Un homme sans visage représentant son véritable père et tenant dans ses bras le cadavre ensanglanté et pourri de sa mère.


Quelque chose d'autre à dire : Phoenix boit du sang humain. Non, ce n’est pas une vampire, elle peut parfaitement s’en passer pour vivre, ne craint pas le soleil et tout le tralala, elle raffole juste du sang humain.

«... TOMBER LES MASQUES !»



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